Dahut, princesse de la ville d'Ys, devenue sirène.
La soi-disante débauche d'une culture pré-chrétienne, vaincue.
La femme représentée comme sirène, comme femme-serpent, la femme symbole du mal.
Même violée par les démons dans un enfer sous supervision d'un diable femelle...
La Vierge, sans péché, qui piétine la féminité et la sexualité d'une Eve nue à la queue de poisson.
Mais il y a également les vierges allaitantes, porteuses de la Vie, comme la Grande Déesse Mère.
Les calvaires aux trois Maries, ou est-ce l'ancienne triade de déesses-mères celtiques?
Et l'exhibitionisme des Sheela Na Gig et des statues ithyphalliques, mémoires lointaines des rites de fécondité?
Dahut, princess of the town of Ys, now mermaid.
The defeat of the so-called debauchery of pre-Christian culture.
The woman depicted as a mermaid, as a snake-woman, woman as symbol of evil.
Even raped by demons in a hell under the supervision of a female devil ...
The Virgin, without sin, tramples the femininity and sexuality of a naked Eve with a fish tail.
But there are also the suckling virgins, bearers of Life, like the Great Mother Goddess.
Calvaries with the Three Maries, or is it the ancient triad of Celtic mother-goddesses?
And the exhibitionism of the Sheela Na Gig and the ithyphalic statues, distant memories of fertility rites?